La première bande-annonce de Scarlett Johansson, est arrivée. Et ça promet un très gros spectacle.
Il y avait à boire et à gerber dans la trilogie Jurassic World 3 simplement désastreux, la saga des dinosaures a nourri bien des débats et bastons, à commencer dans l’équipe d’Ecran Large.
Mais une chose est sûre : le business Jurassic n’a jamais été aussi solide. Avec 1,6 milliard au box-office pour Jurassic World, 1,3 milliard pour le deuxième, et 1 milliard pour le troisième, la trilogie avec Jurassic World : La Colo du Crétacé sur Netflix.
Trois ans après Jurassic World : Le Monde d’après, voilà donc Jurassic World : Renaissance. On ne reprend pas les mêmes et on recommence, puisque ce septième épisode de la saga ouvre un nouveau chapitre, avec Scarlett Johansson, Mahershala Ali en haut de l’affiche. La première bande-annonce est arrivée.
JURASSIC WORLD 4, LE RETOUR DE LA RENAISSANCE
A ce stade, tout le monde semble avoir arrêté de faire semblant d’avoir quelque chose à raconter. « On a besoin de l’ADN des trois plus gros dinosaures », s’exclame le personnage du paléontologue incarné par Jonathan Bailey, histoire de bien résumer le prétexte à cette nouvelle aventure qui lorgne un peu vers Jurassic Park 3.
La lecture du synopsis officiel, lâché il y a quelques mois, avait annoncé la couleur. Après un Jurassic World 3 qui avait à peine assumé la fin de Jurassic World 2 (les dinosaures en liberté sur Terre), Jurassic World 4 revient encore plus clairement en arrière puisque les bestiaux sont une nouvelle fois en voie de disparition. Les derniers spécimens ne peuvent survivre que dans une zone tropicale isolée, histoire de vraiment ressembler aux parcs des premiers films.

L’histoire suivra Zora Bennett (Scarlett Johansson), spécialiste des opérations secrètes qui dirige une opération encore plus secrète pour le compte d’une grande entreprise pharmaceutique. Avec son fidèle collègue Duncan Kincaid (Mahershala Ali) et le paléontologue Henry Loomis (Jonathan Bailey), elle débarque ainsi dans le royaume des dinosaures pour mettre la main sur de précieux échantillons.
Double problème néanmoins : les dinosaures n’ont aucune envie de les laisser faire, et le groupe va en plus croiser la route d’une famille naufragée qui a besoin d’aide. Et en cherchant un moyen de s’échapper et survivre, ils vont découvrir une île non répertoriée, un vieux centre de recherche et un gros secret.

JURASSIC WORLD, UN NOUVEL ESPOIR (OU PAS)
Jurassic World : Renaissance marque le grand retour de David Koepp, le scénariste du premier Jurassic Park et sa suite, Le Monde perdu : Jurassic Park. Interrogé sur les raisons de son retour, il avait expliqué à The Playlist en décembre 2024 :
« J’espère que les gens vont aimer le film parce que la saga a eu tendance à changer après le troisième. (…) Steven Spielberg et moi étions intéressés par l’idée de revenir à un ton peut-être un peu plus proche du tout premier film. (…) On a rarement l’opportunité de partir de zéro, en se disant, « Ok, qu’est-ce que je veux faire ? ». Il n’y avait aucune contrainte de franchise, à part les dinosaures. »

Mais la raison d’y croire (un peu) s’appelle Gareth Edwards. En quatre films, le réalisateur britannique a démontré son savoir-faire à différents niveaux. Et après le petit film fauché Monsters (une expédition dans une zone peuplée de formes de vie aliens), Godzilla (des humains confrontés à des créatures gigantesques), le film Star Wars The Creator (un homme tente de sauver une petite fille robot dans une zone de guerre), un Jurassic World semble presque naturel.
Sachant qu’au départ, c’est David Leitch (Atomic Blonde, Bullet Train, The Fall Guy) qui devait réaliser, on a gagné au change. Mais comme toujours, il faudra vérifier ça en salles, pour savoir si c’est un spectacle un minimum satisfaisant.
Réponse au cinéma le 4 juillet.
Hum, pour revenir au sujet de l’article, perso ça me fait pas spécialement rêver (l’usine à rêves côté dinos a été fermée en 1997 en ce qui me concerne, après la sortie de The Lost World), mais ça a tout de même l’air bien fichu visuellement et le côté aventure plus présent me rend un minimum curieux, là où cet aspect avait été complètement mis de côté dans la précédente trilogie. Avec un peu de chance ce sera « sympa sans plus », voire « plutôt très sympa » mais encore une fois comparé aux World, ce sera déjà un grand pas un avant…
ultra spectateur alors que c’est fade au possible ? Ah la carte de l’auteur…
ps : J’insiste, Ecran Large, ça commence à se voir votre refus de mettre dans la sauce la raciste d’Emilia Pérez…Même Audiard la lâche, Netflix la boude de sa promo désormais, Saldana a ouvertement pris position contre elle par deux fois…Parce qu’elle est trans, il ne faut rien dire du coup chez vous ?
J’irai le voir car j’attends encore une bonne surprise. Les acteurs sont plutôt sympa dans la bande annonce. Mais par contre la grosse bebete hybride qu’on aperçoit vite fait, franchement j’en peux plus de cette idée. Il y a eu des centaines, des milliers de dinosaures, beaucoup sont répertoriés, d’autres à peine découverts. Avec toute cette faune, pourquoi s’obstiner a créer des histoires avec des hybrides, blablabla ? Même si à la base évidemment il s’agit d’animaux venus au monde par le biais scientifique, il est beaucoup plus plaisant, dans Jurrasic World, de voir un diplodocus ou un t-rex qu’un Godzi-Kong.
J’ai revu Jurassic Park 3 récemment et malgré le fossé de maîtrise qui le sépare des deux premiers, il est très divertissant. Ce JW4 a l’air de suivre la même voie, un film d’aventures à l’ancienne, un peu années 80. On sent l’influence de Spielberg sur Gareth Edwards. Pourquoi pas? Les acteurs feront le reste. A première vue ça a l’air très efficace, hâte de voir ça!
J’en attendais rien. Maintenant, j’en attends simplement un divertissement d’action/aventure sympa et correctement filmé, ce qui est déjà une immense victoire.
.
Certes, l’histoire a l’air de pomper les pires travers de la saga (les touristes échoués de JP3, les manips ADN des JW…).
.
MAIS
.
Les acteurs ont l’air à l’aise dans leurs persos, les bons mots font mouche, le côté aventure façon Indy semble fonctionner et SURTOUT, on a un réal sachant manier une caméra et proposer une vraie mise en scène ( le saut HALO de Godzilla).
.
Je vais possiblement en venir à regretter qu’il ne soit pas en 3D…
On dirait un Jumanji.
Je suis épaté par la capacité de ces blockbusters Hollywoodiens à ne strictement rien provoquer chez moi d’autre que l’ennui. Les derniers qui m’ont suffisamment hypé à les regarder étaient Furiosa et Oppenheimer.
Peu importe l’équipe; c’est un produit qui émerge du même système : c’est relativement laid, c’est con, de la nostaref bien dégoulinante, et le tout dans une forme marketing on ne peut plus formaté. Et bien sûr les punchlines cringe…autant cocher toutes les cases.
Honnêtement ça sortirait sur une plateforme SVOD que j’y jetterais même pas un oeil.
Moi cette B.A. montre surtout que malgré un grand réal ils prouvent qu’ils ont clairement fait le tour et depuis longtemps. Que le dino n’attirent plus à lui seul, ne fait plus frissonner (dans leur tête en tous cas), et qu’il faut donc inventer des gros monstres fantastiques.
Mais dans ce cas là allez au bout de vos envies, faites un truc original avec une bestiole fantastique et mettez pas des dino autour pour faire genre on est plus capable de faire un film qui n’est pas une licence…
Ils peuvent faire 14 autres Jurassic Park on aura plus jamais la magie du premier
alors, vous vous souvenez de ces concepts Arts d’hybridation Hommes/Dinosaures sur lesquels tout le monde avait craché quand ils ont sortis des Artworks abandonnés du premier Jurassic World ?
Là clairement dans la bande annonce (sur 2 plans très courts), on dirait une hybridation Dino/Gorille…
Je sens que ça va finir par arriver leur truc…