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Les premiers avis sont tombés pour Fede Alvarez.
On y est ! Cette semaine, le nouveau film de la franchise Alien arrive enfin au cinéma, et on peut dire qu’il s’est fait attendre. Grâce à sa campagne marketing spatiale, Alien : Romulus, qui s’est récemment offert un premier extrait flippant, est en effet parvenu à énormément intriguer, si bien qu’il est difficile d’imaginer que le long-métrage ne soit pas au moins un petit succès au box-office.
Et alors que Ridley Scott a très envie que Fede Alvarez continue la saga après Alien : Romulus, on s’interroge logiquement sur la qualité et l’efficacité du film : parviendra-t-il à se montrer à la hauteur de cet univers culte dont il est l’héritier ? Justement, les premiers avis américains sur Romulus viennent de tomber, et ils nous donnent un premier aperçu de ce qu’il vaut réellement.
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Alien Romulus, entre horreur et références
« Alien : Romulus est un parcours de montagnes russes déjanté à travers les six précédents films Alien, utilisant des morceaux de chacun d’eux pour raconter une histoire forte, autonome, remplie de sang et de frayeurs glorieuses. Ça s’améliore au fur et à mesure, en se terminant par un grand swing phénoménal dans le troisième acte. »
Germain Lussier – Gizmodo
« Alien: Romulus s’appuie sur ses origines d’horreur pour créer un voyage plein de sensations fortes viscérales qui démarre lentement et augmente en intensité jusqu’à ce que vous ayez le souffle coupé à la fin. Sans réelle profondeur thématique, il intègre tellement de clins d’œil, de références et de fan service qu’il ressemble souvent plus à un best-of qu’à une tentative d’apporter quelque chose de nouveau ou de profond. »
Matt Neglia – Next Best Picture
« Le film de Fede Alvarez Alien : Romulus est percutant, captivant et magnifiquement sombre (de l’histoire à la photographie d’Olivares en ant par la musique de Wallfisch). Il propose des trucs intelligents et astucieux de manière innovante, jouant subtilement avec les plus grands succès. Cailee Spaeny et David Jonsson sont énormes. C’est génial ! »
Courtney Howard – Variety
« Alien : Romulus, c’est Don’t Breathe dans l’espace. Un vicieux mélange des prequels de Scott et des deux premiers films. Il se donne corps et âmes pour trouver sa propre identité. Parfois, il y parvient (et c’est malade et tordu), d’autres fois non, mais les décors de Fede Alvarez nous offrent l’opus le plus sordide et le plus sale à ce jour ! »
Griffin Schiller – FilmSpeak
« Alien : Romulus n’essaie pas de réinventer la roue. Au contraire, Fede Álvarez apporte sa touche de folie à une histoire d’horreur classique avec une narration visuelle vraiment merveilleuse. C’est parfois trop nostalgique, mais Fede a prouvé sa valeur pour une trilogie. »
Andrew J. Salazar – Discussing Film
« Alien : Romulus met un peu de temps à démarrer mais devient purement horrifique dans le troisième acte, et présente quelques similitudes avec les précédents films de Fede Alvarez. Quelques clins d’œil et références sympas. Les facehuggers m’ont donné la chair de poule, mais j’ai vraiment peur des araignées aussi en règle générale. »
Joey Magidson – Awards Radar
« Alien : Romulus possède toutes les caractéristiques que l’on peut attendre d’un film Alien, mais ne donne jamais l’impression de faire preuve de nostalgie ou de fan service… et va même dans une direction complètement nouvelle. Fede Alvarez et le casting viennent de donner naissance au meilleur film de l’été. »
Borys Kit – The Hollywood Reporter
« Alien : Romulus est un film lisse, efficace et désespérément sans vie, vidant une esthétique familière de la substance psychosexuelle et bizarre qui l’a rendu emblématique. Spaeny fait le job dans cette doublure de Ripley, mais sans hésiter, j’aurai préféré reprendre aux luttes désordonnées de Sir Ridley avec la divinité que cette histoire de bande. »
Isaac Feldberg – Entertainment Weekly
« Alien : Romulus, comme toutes les suites post-Alien 3, fonctionne mieux lorsqu’il explore de nouveaux terrains. Et il le fait… par morceaux. Il trébuche la plupart du temps dans l’utilisation cryogénique du é, en particulier lorsqu’il se livre à une nostalgie de mauvais fan service. C’est amusant, cependant. Amusant ! »
Michael Roffman – Bloody Disgusting
Pour le moment, hormis quelques avis mitigés, les retours sont donc plutôt positifs concernant Alien : Romulus. Cependant, il semble facile d’identifier ce qui pourrait coincer chez certains spectacteurs. Alors que tout le monde applaudit l’efficacité du récit, de la mise en scène de Fede Alvarez et notamment l’aspect horrifique bien poisseux, de nombreux critiques semblent déplorer une utilisation trop excessive du fan service et des références à la franchise Alien.
Quoi qu’il en soit, si vous êtes curieux et/ou que vous voulez vous faire votre propre avis, Alien : Romulus débarquera dans nos salles sombres le 14 août 2024.
Après le sympatoche mais aussitôt oublié Deadpool 3 version Disney, voilà le Alien 7 version Disney… avant Star Wars 10, Indiana Jones 6 (mais si vous verrez), Pirates des Caraïbes 6 (aussi), Planète des singes 11, Die Hard 6 (mais si), Predator 6, Independence Day 3 (mais si) …
…. et puis pourquoi pas Braveheart 2, A la poursuite du Diamant Vert/du Nil 3, Commando (avec Schwarzy) 2, Wall Street 3, Working Girl 2, Le Jour d’après 2…. c’est pas ce qui manque les potentielles suites de films du grenier de la Fox que personne n’a envie de voir ! Manquerait plus qu’ils nous pondent un Speed 3 ou un Highlander 6 !!!! Ah ah ah ah ah aaaah…… hein? quoi? qu’ouïs-je? c’est déjà en projet? AAaaaarrrrrrrrggg!
Bref si comme moi vous n’en pouvez plus de ces studios américains qui prennent le spectateur pour un porte-monnaie sur pattes, courez-voir le génial City of Darkness, film hong-kongais complètement déjanté. ça, c’est du cinéma !!
Moi ça me va du moment qu’il n’y a pas de scènes de flûtes et que Ridley reste dans son bureau de prod »
Ça sent quand même le désespoir dans la zone commentaire. Je ne comprends pas pourquoi certains ont besoin de la méthode Couet pour s’auto-convaincre d’aller voir ce produit dérivé qui ne tient que sur le fan service. Ça fait trois films où on se fout de vous, en comptant le film de Jeunet. Et je ne compte pas les Alien Vs Predator. Ça se voit quand dans les bandes annonces que ce film est un Alien avec un packaging trompeur farci de fan service sans rien autour. Coucou, allons visiter les décors de Alien puis Aliens. Whouah, non mais trop bien. Sinon? Plus d’effets gore, adieu l’ambiance et la tension du premier film. Il y a des gens qui sont nostalgiques d’une époque qu’ils n’ont pas connu car on leur survend constamment les décennies 80/90 vu que toutes les franchises à rallonge qu’on nous propose depuis 20 ans viennent toutes de là. Mais franchement les gens, la plupart d’entre-vous ne erait pas le rythme lent de ces films, leurs effets spéciaux optiques et pratiques souvent approximatifs, le fait qu’on suggère au lieu de montrer par manque de moyens économiques et techniques. Le premier Alien montre le monstre très tard dans le film et dans la pénombre. Tout le film est basé sur la tension. Il y a un truc qui rode dans les couloirs du Nostromo mais on ne le voit pas. Dans Aliens, c’est différent, c’est un film où les Aliens deviennent de la chair à pâté pour Space Marines. Ils ne font plus peur, il n’y a plus de suspens, on est dans un shoot em up bourrin où les fusils d’assaut sont filmés en gros plan. Juste il y a la reine à la fin, c’est là qu’est le truc principal du film, c’est la plu value de Cameron à la franchise et la construction d’un univers étendu. Dans le 3 on renoue avec l’animal solitaire qui décime une communauté en autarcie. Le Xéno est partout et peut tuer n’importe quand, il y a de nouveau de la tension. Dans le 4 Jeunet recopie le côté militaire du 2 avec des Aliens chair à canon et zéro suspens. Dans les 4 films, Ripley est LE sujet du film. Dans le 1 et le 3, Ripley se bat contre le monstre. Dans le 3 et le 4 elle devient le sujet principal et dans le 4 elle est le monstre. C’est quoi le sujet de ce Romulus? Faire un tour à Alien park en ressortant les images ripolinées aux CGIs modernes des anciens films. De la nostalgie bas de gamme. Bon appétit les gens!
J’ai du mal à imaginer ce qu’un énième épisode de la franchise peut avoir à raconter d’original.
Il y a de fortes chances que ce soit encore un groupe d’humains qui courent dans les couloirs, poursuivis par des aliens. Bref, comme bon nombre d’épisodes précédents…
Qu’attendre de la part de Disney à part absorber des franchises bien identifiées par le public et en faire de nouveaux films, avec la promesse que ce sera comme à la maison, comme dans nos souvenirs, qu’on y retrouvera nos marques et que tout ça est entre de bonnes mains.
Sauf que visiblement on tire tellement la corde nostalgique que la prise de risque est réduite au minimum.
A voir ce que ça donnera, mais Disney + Alien a l’air d’être un mariage contre-nature…
Donc on va avoir droit à un remake, avec quelques effets de manche pour faire « 2024 »…. ça ne présage rien de bon, j’espère me tromper…
Au final. Faut savoir… trop proche de l’original et cest du fan service, trop chercher a faire grandir le lore et cest raté (prometheus).
et si la saga Alien avait tout simplement raconté tout ce qu’elle avait a raconter ?
« j’aurai préféré reprendre aux luttes désordonnées de Sir Ridley avec la divinité que cette histoire de bande. «
GOOGLE TRADUCTION N’EST PAS TON AMI !!
ALIEN ROMULUS (sans Rémus), de quoi terminer un été réchauffé par le souffle des dragons de WESTEROS 🔥🐉🔥🐉 au frais dans le vide interstellaire 👽👽👽
« il intègre tellement de clins d’œil, de références et de fan service qu’il ressemble souvent plus à un best-of qu’à une tentative d’apporter quelque chose de nouveau ou de profond. »
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Tout ce que je redoutais. Maintenant est-ce que ce sont des détails vite oublié qui ent au visionnage ou est-ce que c’est tellement appuyé que ça te sort du film et te gâchent toute l’expérience…?
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Je voulais un film original moi, pas un menu maxi best of 🥤🍔🍟🤢🤮