Films

Jurassic World : et si Ecran Large avait tort ?

Par Mathieu Jaborska
30 avril 2023
MAJ : 20 novembre 2024

Et si Jurassic World, c’était bien en fait ?

Jurassic World : Et si Jurassic World était bien ?

Et si Jurassic World, c’était bien en fait ?

Jurassic World premier du nom. Le métrage fait un carton en récoltant quelque 1,6 milliard de dollars… et beaucoup de critiques. Laid, stupide, inoffensif… La presse, puis une partie du public ont relativisé ce succès attendu. Nous ne faisons pas exception.

À l’époque, Ecran Large publiait un dossier pour démonter consciencieusement le blockbuster. L’équipe était en effet unanimement déçue par ce 4e opus, du moins jusqu’à ce qu’un dissident s’incruste dans ses rangs. Bien conscient des nombreux défauts de la chose, il s’est toutefois mis en tête de la défendre point par point (avec un peu de mauvaise foi), histoire de compléter le diptyque d’articles.

 

Jurassic World : Photo Chris Pratt, Bryce Dallas Howard « Oh non, ils font encore un dossier sur nous »

 

JURASSIC WORLD EST BÊTE

L’idée faisait grincer des dents dès les premières bandes-annonces : pour redynamiser le parc, Claire, ses laborantins et ses actionnaires décident de er à l’étape supérieure et de créer des dinosaures de toutes pièces, particulièrement féroces. Ils accouchent de l’Indominus Rex, monstre au code génétique opaque et élément perturbateur du film. Le concept prouve la bêtise des personnages, qui n’ont pas retenu la moindre leçon des parcs et zoos précédents, mais vise surtout à reprendre la métaphore du divertissement hollywoodien là ou Spielberg l’avait laissée.

La militarisation des animaux, héritée du Monde Perdu, n’est finalement qu’un moyen de relancer les enjeux une fois le grand principe du long-métrage révélé : boosté artificiellement, le spectacle symbolisé par les dinosaures (le parc est évidemment un ersatz de l’industrie américaine) finit non seulement par chasser le grand public, mais surtout se retourner contre ses instigateurs. Une allégorie pas subtile pour un sou, bien sur, mais qui gagne en intérêt lorsqu’on creuse un peu plus.

 

Jurassic World : photo, Chris PrattLes yeux rivés sur un… écran

 

Ainsi, la partie la plus intéressante du film n’est pas le discours désabusé de Chris Pratt sur la dangerosité de rajouter plus de dents, mais bien les justifications du Docteur Wu, qui rappelle au détour d’un dialogue que les reptiles de Jurassic Park ont toujours été factices, puisqu’il a toujours fallu combler les trous d’ADN avec le génome d’autres animaux, comme l’expliquait un peu rapidement le monsieur ADN de l’époque.

Les effets spéciaux numériques et par extension les blockbusters qui en usent et abusent, sont par définition de fragiles artifices, et ce depuis que Jurassic Park les a popularisés. L’intrigue générale est certes improbable, mais elle décrit plutôt bien un écosystème créatif en équilibre précaire, né de l’imagination de Spielberg, ILM et leur clique, voué à s’autodétruire sans eux et sous le contrôle d’entités moins bien intentionnées. Parmi toutes les franchises ressuscitées par les studios, celle-ci était la mieux placée pour dresser le constat.

 

Jurassic World : Photo Henry Wu, BD WongOops, I did it again

 

De la même manière, le domptage de vélociraptors avait déjà été parodié plus que de raison avant la sortie du film. Cette image de Chris Pratt face à Blue, Charlie, Echo et Delta avait fait couler beaucoup d’encre. Pourtant, sur le papier, on voit mal des dresseurs expérimentés manquer de tenter d’apprivoiser de tels animaux, connus pour leur organisation.

En poussant également le raisonnement, on croirait presque voir dans la relation entre l’ancien NAVY et ses amis à écailles un plaidoyer en faveur de l’artisanat cinématographique. Owen dompte difficilement les raptors comme Trevorrow, extirpé du cinéma indépendant par Universal, dompte les moyens colossaux mis à sa disposition. Bien trop puissants pour une seule personne, ils finissent par triompher d’une surenchère cynique (l’Indominus), à condition d’être menés avec sincérité. Encore une fois, le symbolisme est lourd, mais plus au service d’une honnête déclaration d’amour aux divertissements dont Jurassic Park est le parangon que d’un spectacle bas de gamme.

 

Jurassic World : photoParle à ma main

 

JURASSIC WORLD EST LAID

C’est bien beau de disserter sur un retour de la culture pop « à l’ancienne », encore faut-il jouer le jeu. Sur ce point, difficile de contredire le consensus général. Avec sa photographie e-partout et ses effets spéciaux numériques pas franchement éblouissants dans les plans larges pour un budget estimé à 150 millions de dollars, Jurassic World déçoit sur le plan esthétique, même si le je-m’en-foutisme de certains blockbusters sortis après lui (notamment chez Marvel Studios, pour ne pas les citer) fait relativiser ce reproche.

Reste que la production s’échine tout de même à largement rendre hommage aux créations de Stan Winston, Phil Tippett, Michael Lantieri et leurs confrères et consoeurs. Les designs originaux sont largement mis en valeur et, surtout, certains animatroniques très impressionnants (l’une des révolutions cachées de Jurassic Park) ont été confectionnés. C’est le cas par exemple de cet apatosaure mourant, dont l’agonie est supervisée par bien des artistes de talent. Jurassic World est peut-être un peu laid, mais il possède des fulgurances.

 

Jurassic World : photo, Chris PrattI don’t feel so good

 

IL N’Y A (QUASI) AUCUNE TENSION

La saga s’est toujours épanouie à l’intersection du pur récit d’aventures et du cinéma d’horreur, à plus forte raison dans Le Monde Perdu, d’une noirceur assez marquante et sans contexte le plus violent des films de la saga. Moins généreux en la matière que ses deux (voire ses trois, l’opus de Joe Johnston comportant quelques beaux moments de tension) prédécesseurs, Jurassic World assume une échelle plus large et par conséquent, il se doit de consacrer un peu moins de temps aux moments de flippe.

Il est question d’un monstre dévastant tout sur son age, d’un parc visité par quelque 20 000 âmes et d’un retour massif à l’état sauvage de plusieurs dizaines d’espèces de dinosaures. Des enjeux bien moins resserrés, traduits par un montage alterné assez long entre les coulisses et le parc en lui-même. Malgré tout, le film se permet de rares petites scènes de tension, qui doivent beaucoup à la géniale musique de Michael Giacchino et à la dentition de l’Indominus. Quand bien même son design aurait pu être plus inspiré, il faut avouer que sa trogne n’est pas des plus rassurantes.

 

Jurassic World : Photo« J’ai laissé tomber mon casse-croute… »

 

Il se rattrape néanmoins avec ses petites touches de brutalité, tachant de sang les décors en plastique de ce simili Disneyland. Des années avant qu’un public américain facilement impressionnable accole quasiment un classement R à Doctor Strange 2, il laisse un vélociraptor croquer le bras d’un militaire pas assez antispéciste à son gout, nous montre un régiment entier se faire décimer et surtout met en scène l’une des meilleures morts de la saga. La pauvre baby-sitter improvisée finit en amuse-bouche de ptérodactyle, puis en casse-croute de mosasaure le temps d’une séquence particulièrement méchante. Miam.

 

Jurassic World : photoLa recette du sandwich mosasaurien 

 

DU MAUVAIS FAN SERVICE

À première vue, Jurassic World ne lésine pas sur le fan-service, bien qu’il soit un petit joueur comparé à certains de ses congénères. Pourtant, c’est l’un des éléments qu’il traite le mieux. L’extraordinaire intelligence du premier Jurassic Park tenait à la conscience de son propre statut. Plus de trente ans plus tard, le culte qu’il inspire n’est plus seulement une occasion pour multiplier les clins d’oeil… Mais un motif narratif !

La plupart des personnages sont aussi marqués par le premier parc que nous. Il y a fort à parier que l’enthousiasme suscité par les gros lézards dans le récit provienne directement du fiasco de Hammond, comme le prouve le technicien assistant Claire, alignant tel un Simon Riaux les figurines de dinosaures sur son espace de travail et abordant fièrement un tee-shirt estampillé Jurassic Park. Les dinosaures ont pour nous ou pour eux déjà une aura mythologique.

 

Jurassic World : photo Jake JohnsonQuand tu revois Jurassic Park

 

Ce qui justifie largement l’apparition furtive de Monsieur ADN, indissociable des dinos génétiquement modifiés et surtout le deux ex machina final, le T-Rex. Son invocation est épique parce qu’elle renvoie à sa puissance symbolique. Il est l’ambassadeur d’un spectacle décomplexé, sauvage et délicieux. Il ne manquait que lui pour dérouiller de la création bâtarde en la charmante compagnie des raptors. C’est l’exemple parfait d’un clin d’oeil utile à la narration et au propos de l’oeuvre, puisqu’il signifie autant pour nous que pour les protagonistes en délicate position.

 

Jurassic World : photo, Bryce Dallas HowardElle a du flare 

 

CE N’EST PLUS MAGIQUE

Pas pour tout le monde. Il faut reconnaitre au scénario une envie d’exploiter l’amour du public pour Jurassic Park. Pour se faire, Trevorrow propose ni plus ni moins que de réaliser un fantasme absolu de bien des cinéphiles (l’auteur de ces lignes inclus) : faire vraiment fonctionner un parc de dinosaures, avec ce que cela suppose de files d’attente, de déconvenues, d’attrape porte-monnaie… mais surtout d’émerveillement, lors de la séquence du T rex, ou mieux encore, du mosasaure.

Jurassic Park n’avait pas eu l’occasion d’ouvrir et la première partie du film capitalise à fond sur cette légère frustration en prenant bien le temps de nous balader en même temps que ses jeunes héros dans le parc, de nous faire découvrir ses différentes attractions, dont les défauts ne les rendent que plus accessibles. Évidemment, le personnage de Gray incarne à lui seul l’enthousiasme du dinosorophile enfin libre de déambuler dans les allées, accompagné des grands thèmes de John Williams.

 

Jurassic World : photo, Ty Simpkins, Nick RobinsonRoule ma poule

 

C’est d’ailleurs lorsqu’elle s’emploie à reconvoquer la magie de la saga que la mise en scène est la plus efficace. Beaucoup de visions du parc sont recadrées (grâce à une fenètre par exemple), avant de s’ouvrir avec un mouvement de caméra, comme pour nous inviter à traverser l’écran et à toucher du bout du doigt les museaux de bébés tricératops. Un procédé qui donne un intérêt supplémentaire à la scène du mosasaure et qui devient assez puissant lorsqu’il inaugure un travelling survolant l’allée centrale, jusqu’à la salle de contrôle.

 

Jurassic World : photoC’est autre chose qu’un spectacle de dauphins

 

LES PERSONNAGES SONT RATÉS

Outre le duo de gosses, plus des relais spectatoriels que des véritables personnages puisqu’on explore le parc avec eux, Jurassic World ne propose guère de protagonistes aussi marquants qu’Alan Grant, Ellie Sattler et Ian Malcolm, surtout au département héros. Il faut avouer que l’arc narratif de Claire, gérante du parc confrontée aux exigences de ses actionnaires et de ses s en tous genres, puis contrainte à la rédemption familiale, n’est pas des plus originaux, a fortiori à la fin, alors qu’elle risquerait une peine de prison inédite pour avoir atteint à la vie de 20 000 visiteurs par pur appât du gain.

Restent néanmoins quelques seconds rôles amusants, comme les deux techniciens sous ses ordres, sorte de barème vivant de la gravité des évènements, et surtout Owen Grady. Qu’importe l’affection qu’on porte à Chris Pratt, son personnage est le digne héritier des héros de séries B d’aventure d’antan. Ancien NAVY, il vole au secours de la veuve et de l’ophelin au volant de sa moto et à la tête de sa horde de raptors. Une figure héroïque qui se répend en sous-entendus sexuels dès qu’elle en a l’occasion et puise en elle un courage inhumain.

Bref, s’il est lisse à souhait, il n’encombre pas le récit de sous-intrigues inutiles. D’où un rythme assez soutenu dès lors qu’il s’implique dans la traque de l’Indominus.

 

Jurassic World : Photo Chris PrattPratt patrouille

 

JURASSIC WORLD EST UN PEU MENSONGER

Beaucoup de spectateurs auraient sans doute préféré voir plus de touristes se faire boulotter. Il a en effet fallu se contenter d’un buffet à volonté pour ptérodactyles. De là à dire que la promesse n’est pas tenue… Le titre représente en effet moins la taille du body-count (tout de même assez garni pour un film aussi grand public, on vous laisse faire le compte) que l’industrialisation du divertissement. Il n’est plus question de se contenter de Disneyland : il nous faut Disney world et plus encore.

Il participe même à un paradoxe savoureux, inhérent à ce genre de parcs à thème : s’il prétend renfermer un monde, il n’accueille qu’une seule race, celle des touristes. Si le film est intitulé Jurassic World, il se déroule quasi intégralement dans quelques dizaines de kilomètres carrés. Et les personnages finissent par tourner en rond, puisqu’ils reviennent toujours sur cette allée centrale pas très sexy et aux abords de ses boutiques de produits dérivés, au sein desquelles ils trouvent refuge.

 

Jurassic World : photo, Chris Pratt, Vincent D'Onofrio, Omar Sy, Bryce Dallas HowardColloc’ forcée

 

Enfin, l’ironie est biologique : le « monde » promis par les humains devient progressivement celui des animaux, comme pour rappeler que notre espèce quelque peu ambitieuse ne peut pas proclamer son propre royaume naturel à la seule force du marketing, quand bien même elle est à l’initiative de la faune et la flore environnante. Le parc n’aura jamais mieux porté son nom depuis qu’il n’est plus un parc et que les dinosaures ont repris le dessus. Une thématique qui continuera d’ailleurs à courir dans la saga en construction, puisque les bestiaux s’empareront par la suite littéralement du monde. Life finds a way.

 

Jurassic World : photoLe retour du roi 

 

LE MÉCHANT EST NAZE

Non seulement les méchants des films Jurassic Park n’ont jamais été les éléments les plus ionnants, mais, ici, Vic Hoskins, décalque évident du Robert Muldoon du premier, est en réalité un faux méchant. Il est surtout le pion du directeur du parc Simon Masrani (joué par un Irrfan Khan parfaitement casté), personnage étrange qui semble cacher en permanence son statut d’antagoniste jusqu’à se crasher lamentablement dans une volière, victime de son propre gimmick.

Il incarne à merveille cette petite caste de patrons millionnaires travaillant leur image de prophètes du cool, assurant cultiver les sourires et le bien-être animal, mais oeuvrant en secret à maltraiter la nature. Les militaires et leurs rêves humides d’instrumentalisation animale restent à la botte de leur puissance, même après leur mort. Une sorte de Hammond de contrefaçon, transformant la sincérité de cet émule de Spielberg en cynisme très bien dissimulé. Owen aura la présence d’esprit de percer à jour son petit jeu de communicant apprenti pilote.

 

Jurassic World : photo, Irrfan KhanHis name is Khan

 

Un petit jeu qui se retourne donc contre lui. Malheureusement, il ne voit même pas la nature reprendre ses droits sur son petit ilot de greenwashing. L’image du T-rex, littéralement le roi des dinos, lui arrachant métaphoriquement sa couronne en rugissant sur sa place d’hélicoptère est l’une des plus jouissives du film. Le personnage n’en demeure pas moins de plus en plus intéressant, alors que ses congénères bien réels inspirent quasiment un culte sur les réseaux sociaux. Qui a dit que Jurassic World était vide de sens ?

Rédacteurs :
Tout savoir sur Jurassic World
Vous aimerez aussi
Commentaires
Veuillez vous connecter pour commenter
30 Commentaires
Le plus récent
Le plus ancien Le plus populaire
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
Mauny
Mauny
il y a 2 années

Perso, un film que j’ai plutôt bien aimé (surtout au regard des deux suivants) qui n’est pas sans défaut, mais qui a en a suffisamment sous le pied, et qui suffisamment bien (moyennement bien) les choses pour qu’il se laisse regarder avec plaisir. Évidemment le plus gros reproche qu’on peut lui faire, mais dont il n’est pas responsable c’est qu’il n’offre plus l’effet nouveauté du tout premier Jurassik Park. Mais est ce un mauvais film non, est ce un excellent film non plus, je le vois comme un moyen/bon film a grand spectacle qui coche correctement les cases du bon divertissement (nettement plus que bien des Marvel par ex). On pourra toujours lui reprocher des choses, mais je me rappelle que lors de son 1er visionnage, j’ai é un bon moment (une partie du cerveau en off comme le demande ce genre de production) et je le regarde aujourd’hui avec le même plaisir, même si je suis plus attentif à certains de ses défauts.
Mais il est des reproches que vous lui faites qu’on pourrait facilement mettre au compte d’un Avatar qui pourtant a ébahi quasiment tout le monde. Alors qu’il est bourré de défauts une fois qu’on e au delà de la plastique du film….

Marc Pas en RAGE
Marc Pas en RAGE
il y a 2 années

@的时候水电费水电费水电费水电费是的 Geoffrey

J’espère que SIMON nous fera un petit discours de départ dans un article le Clap de fin sur Ecran large. J’espère qu’il fera partie des critiques du MASQUE ET LA PLUME un jour prochain sa fera du bien à cette émission que j’écoute tout les Dimanches . Je le regarderai sur Le Cercle Cinéma sur Canal +

A bientôt Simon Riaux .
.

Geoffrey Crété
Geoffrey Crété
il y a 2 années

@morcar

Oui, on tenait justement à remettre les avis des autres membres de l’équipe en bas des critiques pour rappeler la diversité des opinions. On a aussi souvent publié des articles autour de films qui divisent (Prometheus, King Kong, Transformers…), ainsi que des vidéos-débats où on prend le temps de confronter les avis. Même dans nos sketchs d’intro, on jouait souvent avec tout ça.

Morcar
Morcar
il y a 2 années

En effet, vous précisez souvent dans les commentaires que tel ou tel avis n’est pas nécessairement partagé par tous les membres de la rédaction, et heureusement que vous avez aussi des avis différents. Mais comme il faut que vous choisissiez une personne pour faire la critique d’un film, on fait inconsciemment l’erreur de penser que c’est l’avis de la rédaction.
C’est pour ça qu’il est toujours intéressant de regarder qui a rédigé une critique. Et j’aime assez quand plusieurs membres mettent leur avis résumé en fin de critique.

Geoffrey Crété
Geoffrey Crété
il y a 2 années

@morcar

D’un commun accord avec Simon, on a décidé que c’était le bon moment pour s’arrêter. Il n’y a pas encore de nouvelle personne dans l’équipe, qui s’était déjà agrandie récemment avec Déborah et Antoine.

Pour cet article : on voulait rigoler et rappeler que dans l’équipe, les débats et la diversité des opinions sont omniprésents, et que c’est très important !

Morcar
Morcar
il y a 2 années

Tiens donc, j’avais vu sur l’Instagram de Simon RIAUX qu’il était sur de nouveaux projets, mais je ne pensais pas pour autant qu’il avait quitté la rédac d’EL. Bon vent à lui, et bienvenue au(x) nouveau(x) venus au sein de la rédaction.
C’est assez particulier ce type d’article de remise en question, mais intéressant.

Mouais Bof...
Mouais Bof...
il y a 2 années

Simon Riaux parti??? Les violences verbales dans les commentaires à son encontre et la réparti de Mr Riaux vont manquer énormément. Des echanges cultes.Aussi cultes que les articles d’E.L parfois.

Courage à lui dans sa nouvelle vie.

Marc en RAGE
Marc en RAGE
il y a 2 années

@Geoffrey

Ok Salutation à Simon et c’est noté pour les projections publiques .

Kyle Reese
Kyle Reese
il y a 2 années

RIen que pour Bryce Dallas Howard qui court en talons pour échapper au TRex le film vaut le coup … le reste, je ne m’en souvient plus vraiment. ^^

Geoffrey Crété
Geoffrey Crété
il y a 2 années

@Marc en RAGE

Simon n’est plus dans l’équipe depuis quelques semaines. Et non, on n’a jamais organisé ça. On a un Discord et on organise notre première projection-débat ce vendredi 2 décembre, où toute l’équipe sera amenée à venir et discuter avec le public.